Doux Anges / La Belle Vie
1999/2002
by Edgard Teboul
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About the Book
Doux anges
Edgard Teboul expose ses anges. On y verra des anges, symbole de l’éternité, du temps. Et de la grâce, à l’aube de ce troisième millénaire que nous craignons tant, mais que nous voudrions angélique... Edgard Teboul est donc inspiré par les anges et le temps. Il vit d’ailleurs lui-même, dans son travail, une relation au temps qui est intéressante car paradoxale : responsable d’une agence de communication, il est tenu de produire vite et efficace, alors qu’artiste, il travaille sur un temps non compté, hors des commandes et pour l’éternité. Ce sont les anges d’Edgard, les nôtres en fait, conçus à la marge de l’activité réelle, captés hors de la vie courante, inexplicites dans leur traduction, vaguement visibles et, pour quiconque, aussi difficiles à atteindre que le bonheur – sinon par fragments – qui nous ont séduits, atteints, touchés.
La belle vie
D’abord regarder défiler les séquences. Cadence : 24 images / seconde. Ensuite figer le mouvement, en extraire des portraits. Hors de l’action et hors du temps, les personnages s’immobilisent enfin en des attitudes stéréotypées... Inspiré par les films noir et blanc des années 60, Edgard Teboul capte le mouvement pour le fixer sur la toile. L’histoire se poursuit pourtant, car ces images focalisées deviennent le support prétexte à la recherche picturale. Edgard Teboul nous propose sa propre narration au travers de collages, d’accumulations graphiques ; un univers composite prend forme autour d’éléments comme le papier, l’acrylique, la typographie, le sable... Par couches successives la toile devient matière, faisant tour à tour apparaître ou disparaître l’image de fond dont il ne reste qu’une trace. Les œuvres prennent ainsi la valeur d’un symbole : celui consenti par le regard du spectateur face au tableau. Alors, et seulement, l’histoire se poursuit en autant d’interprétations possibles selon la sensibilité, la personnalité de chacun d’entre nous.
Edgard Teboul expose ses anges. On y verra des anges, symbole de l’éternité, du temps. Et de la grâce, à l’aube de ce troisième millénaire que nous craignons tant, mais que nous voudrions angélique... Edgard Teboul est donc inspiré par les anges et le temps. Il vit d’ailleurs lui-même, dans son travail, une relation au temps qui est intéressante car paradoxale : responsable d’une agence de communication, il est tenu de produire vite et efficace, alors qu’artiste, il travaille sur un temps non compté, hors des commandes et pour l’éternité. Ce sont les anges d’Edgard, les nôtres en fait, conçus à la marge de l’activité réelle, captés hors de la vie courante, inexplicites dans leur traduction, vaguement visibles et, pour quiconque, aussi difficiles à atteindre que le bonheur – sinon par fragments – qui nous ont séduits, atteints, touchés.
La belle vie
D’abord regarder défiler les séquences. Cadence : 24 images / seconde. Ensuite figer le mouvement, en extraire des portraits. Hors de l’action et hors du temps, les personnages s’immobilisent enfin en des attitudes stéréotypées... Inspiré par les films noir et blanc des années 60, Edgard Teboul capte le mouvement pour le fixer sur la toile. L’histoire se poursuit pourtant, car ces images focalisées deviennent le support prétexte à la recherche picturale. Edgard Teboul nous propose sa propre narration au travers de collages, d’accumulations graphiques ; un univers composite prend forme autour d’éléments comme le papier, l’acrylique, la typographie, le sable... Par couches successives la toile devient matière, faisant tour à tour apparaître ou disparaître l’image de fond dont il ne reste qu’une trace. Les œuvres prennent ainsi la valeur d’un symbole : celui consenti par le regard du spectateur face au tableau. Alors, et seulement, l’histoire se poursuit en autant d’interprétations possibles selon la sensibilité, la personnalité de chacun d’entre nous.
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